• Passer au contenu principal
  • Passer à la barre latérale principale
  • Passer au pied de page
  • Accueil
  • A propos de nous
  • Rapports
    • Rapport annuel
    • Rapport Mensuel
    • Rapport Trimestriel
    • Relevés des personnes tuées
  • Droits Humains au Bdi
    • Cachots et Prisons
    • Torture
    • Lettres Mensuelles
  • Brèves nouvelles
    • Brèves infos
    • Communiqués de presse
  • Contacts
  • PHOTOS
    • Photos

Association Burundaise pour la protection des Droits Humains et des personnes Détenues « APRODH »,

Vie, Paix, Justice, Egalité

Association Burundaise pour la protection des Droits Humains et des personnes Détenues :

"A.PRO.D.H"

Main Content

Rapport Annuel 2022

Les violations des droits humains au Burundi restent une triste réalité. Tout au cours de l’année 2022, des atteintes aux droits à la vie et aux droits de liberté des citoyens n’ont cessé d’être enregistrées dans différentes localités de notre pays, de jour comme de nuit. Des personnes sont tuées, d’autres sont torturées, d’autres encore sont arrêtées arbitrairement et détenues illégalement, des cas de personnes enlevées, … dans le silence complice des responsables habilités.
D’innombrables familles ont sombré, durant cette longue et pénible année, dans la désolation suite à la disparition des proches sans espoir de les retrouver. Les instances judiciaires existent à tous les niveaux, mais les promesses d’enquêtes qui sont faites à chaque fois qu’il y a des pertes en vies humaines restent lettre morte ou, du moins, quand elles sont effectuées,  elles se terminent en queue de poisson. Les proches des victimes ne sont jamais informés à propos des bourreaux en vue d’intenter des actions en justice. Et, aussi longtemps  que les coupables ne sont pas identifiés pour subir des sanctions conformes à la loi,   cette barbarie humaine ne fera que s’enraciner au sein de la population burundaise.

 

APRODH Rapport annuel 2022Télécharger

Rapport Mensuel-Janvier 2023

A la fin du présent rapport, l, APRODH note avec beaucoup d’indignation que des cas de violations des droits de l’homme continuent à être commis au Burundi, sans que  le gouvernement agisse pas pour mener des enquêtes, lesquelles conduiraient à identifier les auteurs et a les soumettre à la force de la loi. Dans ce silence inouï, des cas de personnes tuées, d’arrestations arbitraires suivis de détentions illégales, de personnes enlevées et/ou portées disparues, de torture, de VSBG en général et de viol en particulier continuent à avoir droit de cité  dans un pays régi pourtant par des lois claires. La situation reste telle au moment où toutes les maisons de détention de notre pays regorgent de prisonniers avec des effectifs alarmants et une surpopulation sans égale. Ces maisons carcérales gonflent de détenus parce que d’innombrables personnes accusées des infractions à caractère politique ne sont pas jugées. Même des personnes jugées après une longue période de détention illégale continuent à croupir dans les prisons alors que certaines ont été acquittées. Même celles qui sont relaxées sont arrêtées à nouveau quelques jours après par des Imbonerakure et/ou les agents du SNR qui font le beau et le mauvais temps dans le pays sans être inquiétés.

 

Rapport Janvier 2023Télécharger

Rapport Mensuel-Décembre 2022

Au terme du présent rapport, l’APRODH note avec beaucoup d’indignation que des cas de violations des droits de l’homme continuent à être commis au Burundi. Des cas de personnes tuées, d’arrestations arbitraires suivies de détentions illégales, des cas d’enlèvements et de disparitions forcées,  des cas de torture, de VSBG en général et de viol en particulier continuent à avoir droit de cité  dans un pays régi pourtant par des lois claires. Ici, nous devrions attendre de l’autorité publique des enquêtes, lesquelles conduiraient à identifier les auteurs et à les soumettre à la force de la loi, ce qui n’arrive que rarement.   La situation reste telle au moment où tous les établissements pénitentiaires regorgent de prisonniers avec des effectifs alarmants et une surpopulation sans égale, du fait que d’innombrables personnes accusées d’infractions à caractère politique ne sont pas jugées ; même des personnes jugées après une longue période de détention illégale, puis acquittées, continuent à croupir dans les prisons. Pire encore, certains détenus relaxés sont arrêtées à nouveau quelques jours après par des Imbonerakure et/ou des agents du SNR qui font le beau et le mauvais temps sans être inquiétés.

Rapport mensuel décembre 2022Télécharger

Situation carcérale

Barre latérale principale

Prev
Next

BREVES INFOS

Déclaration sur la situation des réfugiés burundais en Tanzanie

26 janvier 2022 By Mutama

Déclaration incendie/prison de Gitega

10 décembre 2021 By Mutama

Archives

Recherche

Footer

Vidéos

Vidéos

Dr Honoris causa Mbonimpa

https://www.aprodhasbl.org/wp-content/uploads/2018/06/Pierre-Claver-Mbonimpa-Doctor-Honoris-Causa-VUB-ULB-YouTube-360p.mp4

Copyright © 2023 · Magazine Pro on Genesis Framework · WordPress · Se connecter