Tout au long du mois de juillet, de jour comme de nuit, des violations des droits de l’Homme n’ont cessé d’être enregistrées ici et là dans notre pays. Des familles ont plongé dans l’amertume à cause de la disparition tragique des leurs, morts tués ou enlevés sans espoir de les retrouver. De plus, des intimidations et menaces de morts des membres des partis de l’opposition surtout le CNL sont devenues monnaie courante. Des vandalismes et des destructions des maisons qui servent de permanence du CNL sont inquiétants partout dans le pays.